La Cour de cassation vient de refuser de réviser la condamnation de Guillaume Seznec.
Cela fait plus de soixante-dix ans que
Dans cette affaire, de hauts magistrats, dont l’avocat général, avaient exprimé leurs doutes. C’est donc bien qu’il y avait des raisons de douter et la décision rendue ne peut que susciter la stupéfaction.
La LDH assure Denis Seznec de sa considération et de sa solidarité dans le remarquable combat qu’il mène depuis des années non seulement pour la réhabilitation de son grand-père, mais au-delà pour une justice plus juste et plus humaine.
Paris, le 15 décembre 2006.