La LDH prend acte de la décision de la Chambre criminelle de la Cour de Cassation de déchoir Maurice Papon de son pourvoi en cassation. Elle regrette qu’elle ne l’en ai pas débouté après avoir rejeté ses mauvais moyens. Maurice Papon va continuer à provoquer ses victimes en osant prétendre que ses droits n’ont pas été respectés alors qu’il a créé lui même cette situation en refusant de se soumettre à la justice de son pays. Le masque du haut fonctionnaire légaliste et obéissant est tombé. Il ne reste qu’un criminel en fuite. Paris, le 21 novembre 1999