La LDH participe et apporte son soutien à diverses manifestations en 2001, notamment : Depuis le 18 octobre 1997, Amnesty International et la LDH, chaque semaine, manifestent publiquement leur soutien aux Algérien(ne)s qui luttent pour arrêter les massacres, pour obtenir la vérité sur les disparus, pour demander justice et refuser l’impunité aux groupes armés, quels qu’ils soient, et aux plus hautes autorités de l’État qui, sous prétexte de maintenir l’ordre, violent les droits fondamentaux. Ce rassemblement, qui a lieu tous les samedis de 14h30 à 15h30 devant l’entrée principale des jardins du Luxembourg :
2001 – RAPPORT ANNUEL – Manifestations
pour la régularisation des sans-papiers (27 janvier et 16 juin) ;
lors de la cérémonie de commémoration de l’assassinat de Brahim Bouaram, sur le pont Carroussel (1er mai) ;
contre la venue d’Ariel Sharon à Paris – bien qu’il se soit décommandé, la manifestation a eu lieu (5 juin) ;
lors de la journée internationale de soutien et de solidarité avec tous les Tunisiens privés de leur passeport (14 juin) ;
à la Lesbian and Gay Pride, dont le mot d’ordre commun est « Pour en finir avec les discriminations » (23 juin) ;
pour une solidarité internationale avec le peuple et la jeunesse algérienne, à l’initiative du Collectif Lounès Matoub, contre la tenue du Festival mondial de la jeunesse et des étudiants organisé par le gouvernement algérien (8 août) ;
en soutien au Colloque des sans-papiers de Saint Bernard (25 août) ;
en soutien aux femmes afghanes (29 septembre) ;
à l’initiative de France Palestine Solidarité et de l’Association des Palestiniens en France (26 octobre) ;
suite à la condamnation des Égyptiens arrêtés pour « suspicion d’homosexualité », la manifestation étant organisé par l’Interassociatif de lutte contre l’homophobie (24 novembre)
en faveur des droits du peuple palestinien (29 novembre)
pour soutenir le nouveau projet de loi de révision de la loi sur l’IVG à l’Assemblée nationale (29 novembre)
à l’occasion du contre sommet-européen de Nice, dans le cadre du Collectif sur la charte des droits fondamentaux (6 décembre)
soutient l’action en Algérie et hors d’Algérie des organisations algériennes des droits de l’Homme, notamment des collectifs de familles disparues ;
exige la vérité sur la nature, l’origine des violences en Algérie ;
refuse l’impunité des responsables d’actes de violence ou de barbarie assimilables à des crimes contre l’humanité perpétués par des groupes terroristes difficiles à identifier ou par terrorisme d’État ;
exprime notre solidarité à l’égard de toutes les victimes, et au-delà, de toute la population d’Algérie.