Prenant acte de la communauté de vie des couples en cause, elle motive ses deux arrêts par l’importance de la préservation de l’intérêt de l’enfant en maintenant l’autorité parentale de la mère biologique, cette dernière se la voyant juridiquement retirer au profit de sa compagne adoptante, bien que restant dans les cas soulevés totalement impliquée dans ce projet familial.
Cette conclusion marque l’impasse dans laquelle se trouvent les couples de même sexe pour partager effectivement des droits équitables sur l’enfant qu’ils élèvent et confirme le besoin de faire évoluer la législation pour répondre à ces situations concrètes.
Comme l’indiquent les attendus de
C’est pourquoi,
Paris, le 22 février 2007.