L’annonce de la libération d’Ingrid Betancourt est, pour tous les militants de
Aujourd’hui Ingrid et quelques autres otages sont libres, grâce à une opération réussie par l’armée colombienne sans effusion de sang. Les gouvernants français successifs, qu’il s’agisse de Jacques Chirac, de Dominique de Villepin ou de Nicolas Sarkozy, n’ont pas ménagé leur peine pour tenter d’obtenir ce résultat, et
Notre joie ne doit pas non plus nous faire oublier le sort des centaines d’otages dont le calvaire se poursuit en Colombie. Là encore, Nicolas Sarkozy a eu raison de renouveler sa proposition d’accueillir en France leurs ravisseurs sous la seule condition qu’ils renoncent à la violence politique : c’est seulement ainsi que se dénouent les guerres civiles, et si donner la parole de
Le combat pour la libération des tous les otages et pour le respect des droits de l’Homme en Colombie, menacés tant par les FARC que par les exactions d’un pouvoir autoritaire et de ses anciens complices criminels des « paramilitaires », continue.
Paris, le 3 juillet 2008.