Deux ans après le déclenchement de la seconde Intifada, la situation des droits de l’Homme dans les Territoires occupés palestiniens ne cesse de se détériorer. Aux attentats-suicides en Israël, répond immanquablement la violence indifférenciée dans les territoires occupés. Pour que cesse la spirale de la violence, les défenseurs des droits de l’Homme en appellent à la nécessité de se référer rigoureusement au droit international.
Une rencontre a été organisée, par Amnesty international – Section française, la FIDH et la LDH, avec Raji Sourani à l’occasion de sa venue en France pour recevoir en compagnie de Amira Hass, journaliste israélienne, le prix de la Fondation Bruno Kreisky pour les droits de l’Homme.