La Cour d’appel de Montpellier vient de condamner José Bové à six mois de prison ferme.
Cette décision marque la volonté de réprimer l’expression d’un mouvement social.
La Ligue des droits de l’Homme dénonce cette volonté et exprime sa solidarité à José Bové ainsi qu’aux autres militants poursuivis.
Paris, le 20 décembre 2001