Le tribunal administratif de Paris a, par une décision en date du 8 janvier 2003 et à la demande de la LDH, annulé l’arrêté du maire d’Asnières qui avait édicté un « couvre-feu » à l’encontre des mineurs et leur avait interdit de se rassembler à plus de trois.
La LDH se félicite de voir ainsi la municipalité d’Asnières rappelée à la légalité.
Cette municipalité aurait été mieux avisée de mettre en place une politique sociale digne de ce nom plutôt que de stigmatiser les jeunes et leurs parents.
Paris, le 15 janvier 2003