Constituée partie civile aux côtés des victimes dans l’affaire « French Bukkake », la LDH entend soutenir leur action contre les infractions aggravées par le sexisme et le racisme qu’elles ont subies.
L’industrie du porno peut dissimuler de véritables crimes. C’est le cas dans l’affaire « French Bukakke » ayant donné lieu à une information judiciaire ouverte en octobre 2020 à Paris. La LDH est constituée partie civile aux côtés des victimes et entend soutenir pleinement leur combat face aux infractions aggravées par le sexisme et le racisme dénoncées.