Après le jeu « On lâche rien ! », découvrez notre nouveau jeu de société tout public, qui sensibilise sur les dérives de la surveillance généralisée.
« Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. » Convention européenne des droits de l’Homme
Le respect de la vie privée est un droit essentiel en démocratie. Ce droit est progressivement remis en cause en France par les évolutions législatives sécuritaires et leurs renforcements via des outils de surveillance numérique.
« Rien à cacher » est un jeu qui a pour objectif de sensibiliser le grand public au respect de la vie privée. Le jeu s’inscrit dans l’actualité de l’année 2024, alors que la France a légalisé la vidéosurveillance algorithmique à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, une première au sein de l’Union européenne.
cOMMANDER LE JEU
Vous pouvez d’ores et déjà commander une édition limitée LDH sur la boutique en ligne de la LDH qui contient une carte postale inédite, ci-dessous.
1er juillet 2024 : sortie officielle de l’édition normale de « Rien à cacher » dans les boutiques de jeux.
Spécificités
Prix : 18 € TTC
Nombre de joueurs : 3 à 5
Âge : 10 ans et plus
Durée : 15 minutes
Contenu : 56 cartes de bases, 1 aide de jeu, 1 jeton surveillance, 12 jetons individu modèle, 1 livret de règles, 1 livret » De l’autre côté des caméras »
Illustrateur : Loic Sécheresse
Editeur : Coco-Cherry Fabriqué en France
Les règles du jeu
Ce que vous faisiez hier avec insouciance n’est plus permis. Réussirez-vous à jouer vos cartes sans être dénoncé-e ?
« Rien à cacher » est un jeu bluff : jouez vos cartes Liberté face cachée. Surveillez vos adversaires. Révélez leurs cartes interdites et renforcez les lois !
« Rien à cacher » peut être utilisé comme un outil ludique pour sensibiliser aux dangers de la surveillance abusive.
Une partie des revenus issus de la vente du jeu est reversée aux associations partenaires, dont la LDH, qui agissent en faveur de la liberté de tous et de toutes et contre les pratiques de surveillance abusives.