Madame la Maire,
Je voudrais vous dire combien la LDH s’associe à la douleur que ressent votre ville, le conseil municipal et toutes les familles atteintes par le drame qui s’est produit.
Bien sûr, ce qui s’est passé défie l’entendement et, à ce titre, les mots ne peuvent rendre compte que maladroitement et imparfaitement de cette irruption de la folie. Il reste que des hommes et des femmes sont morts, que d’autres sont blessés et que nous sommes atterrés devant cette tragédie.
Au nom de la LDH, je vous adresse, ainsi qu’à tous ceux et à toutes celles qui souffrent, les condoléances et la sympathie de tous nos militants.
Je vous prie de croire, Madame la Maire, en l’assurance de mon profond respect.
Michel TUBIANA, président de la LDH
Paris, le 28 mars 2002