Dans la nuit du 13 au 14 avril 2014, plus de deux cents jeunes filles ont été enlevées dans leur lycée de Chibok, au nord-est du Nigeria. Il s’agit là d’un enlèvement de masse sans précédent. Le 5 mai, Aboubakar Shekau, le leader du groupe Boko Haram, a revendiqué cet acte et a annoncé que ces jeunes filles seraient mariées de force ou vendues comme esclaves…Depuis, un mouvement d’ampleur internationale s’est créé pour obtenir leur libération. Parti des familles des victimes, il regroupe des ONG, des responsables politiques, des représentants du monde du spectacle, de l’ensemble de la société civile… Il s’agit notamment de faire pression sur le gouvernement nigérian qui, jusqu’à présent, s’est révélé incapable de regrouper un groupe aussi important dans le pays le plus peuplé du continent africain. A Paris, un rassemblement a été organisé le 13 mai, en soutien aux jeunes filles et à l’initiative de plusieurs associations, dont la LDH. Nicole Savy, co-responsable du groupe de travail « Femmes, genres, égalité » et Pierre Tartakowsky, président de la LDH, étaient présents.
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