Un conflit vient de se produire entre réfugiés Afghans et Kurdes, résidant au centre de Sangatte.
Comment s’étonner que le confinement d’un millier de personnes (hommes, femmes et enfants) ne provoque de telles conséquences.
En refusant, sous la pression du ministre de l’Intérieur, d’ouvrir d’autres centres, le gouvernement porte la responsabilité de cette situation.
La LDH demande au gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour que l’accueil de ces réfugiés ait lieu dans d’autres conditions.
Paris, le 21 novembre 2001