Génocide arménien : de la transformation d’un fait historique en argument électoraliste

Communiqué LDH

La Ligue des droits de l’Homme, qui a compté à sa direction de grands défenseurs de la cause arménienne, de ses deuxièmes président et secrétaire général, Francis de Pressensé et Pierre Quillard, à Anatole France, entre autres, a fait de la dénonciation des massacres d’Arméniens dans l’Empire ottoman l’un de ses premiers combats au lendemain de sa constitution lors de l’affaire Dreyfus.

Assistantes maternelles : une « neutralité » d’exclusion

Communiqué LDH

La Ligue des droits de l’Homme ne peut se satisfaire de l’adoption, le 17 janvier par le Sénat, de la proposition de loi visant, selon ses termes officiels, à étendre l’obligation de neutralité des professionnels de la petite enfance aux structures privées de la petite enfance et aux assistants maternels à domicile. Si elle ne souhaite pas respecter cette neutralité, la personne concernée devra le stipuler dans son contrat de travail.

Le collectif Daja est heureux de vous inviter aux représentations de Allons Z’en France, les 26, 27 et 28 janvier 2012 à la Générale, Paris 11e

La politique d’immigration est aujourd’hui fondée sur l’existence proclamée d’un « problème », voire d’une menace susceptible de troubler l’ordre public, les équilibres économiques et l’intégrité de notre pays. Partant des travaux du collectif de chercheurs et journalistes Cette France-là, Allons Z’en France interroge les fondements, les rouages et les contradictions d’une telle politique.

« Bavures policières » et « traitement inhumain » : il faut que la justice soit rendue !

Communiqué LDH

A Colmar, à Strasbourg, à Grasse, à Clermont-Ferrand il y a seulement quelques jours, des personnes interpellées par la police sont décédées brutalement. Dans chacun de ces cas, il a été fait un usage disproportionné de la force. Il y a eu décès car il y a eu violence de la part de la police et la suspicion existe sur son rôle lors des interpellations.

Protégeons la démocratie et les droits en Hongrie

Communiqué AEDH

Entrée en vigueur le 1er janvier 2012, malgré les nombreuses critiques dont elle avait fait l’objeti, la nouvelle Constitution hongroise (appelée Loi fondamentale) et les lois cardinales qui l’accompagnent portent gravement atteinte à la démocratie et l’Etat de droit en Hongrie, et sont contraires aux valeurs fondamentales de l’Union européenne telles qu’établies dans l’article 2 du Traité sur l’Union européenne.

Soutenez les combats de la LDH

Les droits et les libertés ça n’a pas de prix, mais les défendre a un coût.