La LDH s’oppose à la multiplication des systèmes de vidéosurveillance La LDH :
► rappelle et maintient sa franche opposition à la multiplication de systèmes de vidéosurveillance, en ce que ces systèmes sont attentatoires à la liberté fondamentale de circuler sans entrave ni surveillance, et attentatoires à la vie privée et sont un outil de contrôle social.
► constate et dénonce la carence de l’Etat concernant la communication d’information sur ce sujet ; ce grave déficit d’information est à comparer à la volonté à nouveau affichée de multiplier ces instruments de vidéosurveillance.
► déplore une telle position qui porte atteinte à la transparence que devrait manifester le ministère de l’Intérieur notamment dans ce domaine, si ses choix étaient aussi légitimes et pertinents qu’il le prétend.
► dénonce le fait que le législateur n’ait eu de cesse d’augmenter le périmètre soumis à surveillance, sans accorder dans le même temps aux citoyens, des droits équivalents à l’augmentation du contrôle.
► réaffirme son opposition à toute participation aux comités d’éthique.