Journée d’étude : face aux entraves aux libertés associatives, faire front commun

Journée d’étude de la LDH, organisée dans le cadre du programme Net4Defenders, le vendredi 28 février 2025 à partir de 10h, à la LDH

Rendez-vous le vendredi 28 février 2025 à partir de 10h, au siège de la LDH, 138 rue Marcadet 75018 Paris, et en visioconférence.

PROGRAMME

➤ 10h – Entraves aux libertés associatives : état des lieux

10h – Introduction et animation ; avec Nathalie Tehio, présidente de la LDH

10h15 – Etat des lieux sur les entraves aux libertés associatives ; avec Antonio Delfini, de l’Observatoire des libertés associatives

10h40 – Les évolutions du financement du monde associatif, une urgence démocratique ; avec David Ratinaud, chargé de plaidoyer au mouvement associatif

11h – Attaques visant les associations d’aide aux personnes migrantes ; avec Fanélie Carrey-Conte, secrétaire générale de La Cimade

11h20 – Les libertés associatives : remises en cause générales, remises en cause spécifiques ; avec Stéphanie Hennette-Vauchez, professeure de droit public

11h45 – Les libertés associatives face aux procédures baillons ; avec Fiona Houdin, Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) et conseillère juridique à la LDH

12h – Questions, échanges

12h30 – 14h – Pause déjeuner

➤ 14h – Formation « Elaborer une stratégie de défense face aux entraves aux libertés associatives »

14h – Face a la répression administrative : comment optimiser le recours contentieux ? ; avec Marion Ogier, avocate et membre du Comité national de la LDH

14h30 – « Le droit de la presse comme outil de défense de la réputation des associations face aux campagnes diffamatoires et aux pressions dans les médias ou sur les réseaux sociaux » ; avec Emmanuel Daoud, avocat

15h30 – Discussion : comment faire front commun ?

Inscription obligatoire auprès de reservation@ldh-france.org. Merci d’indiquer si vous souhaitez participer à cette journée en présentiel ou en distanciel.

Nombre de places limité.

Soutenez les combats de la LDH

Les droits et les libertés ça n’a pas de prix, mais les défendre a un coût.